Depuis que je suis entraîneur, je n’ai jamais vu un joueur aussi spécial que lui, il sera sans aucun doute la star numéro 1 du football européen dans les 10 prochaines années. L’entraîneur de Nice, Franck Haise, a particulièrement encensé un joueur du PSG après la victoire 1-0 contre Nice.
La véritable identité de ce joueur a surpris beaucoup de monde. On imaginait Mbappé ou Dembélé, mais Haise visait un défenseur central de vingt ans. Ce jeune, Lucas Beraldo, a neutralisé Moffi et organisé le jeu avec une maturité stupéfiante.
Le match au Parc des Princes s’est joué sous tension. Nice a résisté quatre-vingt-quatorze minutes avant le but de Ramos sur corner. Beraldo, impassible, a repoussé chaque assaut niçois avec une lecture parfaite des trajectoires et des duels.
Franck Haise, en conférence, a insisté sur la vista de Beraldo. Il a comparé son anticipation à celle de Thiago Silva jeune et sa relance à Piqué. Ces mots ont fait bondir les réseaux sociaux et les analystes télé.
Beraldo, Brésilien arrivé en janvier 2024, mesure un mètre quatre-vingt-dix. Formé à São Paulo, il a disputé tous les matchs cette saison. Son calme sous pression contraste avec son âge et impressionne Luis Enrique.
Lors du match, il a remporté douze duels aériens sur treize. Il a intercepté trois ballons dans sa surface et initié cinq contres décisifs. Ses passes longues ont trouvé Hakimi ou Kvaratskhelia avec une précision chirurgicale.
Haise a révélé avoir étudié Beraldo pendant des mois. Il a avoué que Nice avait prévu de l’éviter systématiquement. Pourtant, le Brésilien a dicté le tempo, forçant les Aiglons à jouer latéral.
À la mi-temps, Beraldo a corrigé le positionnement de Zabarnyi. Ce coaching improvisé a scellé la défense parisienne. Nice n’a cadré qu’un tir en seconde période, repoussé par Donnarumma sur une frappe lointaine.
Après le match, Haise a serré la main de Beraldo longuement. Il lui a glissé une phrase en portugais que les caméras ont captée. Le jeune a souri, conscient de l’honneur reçu d’un adversaire respecté.
Luis Enrique, interrogé, a confirmé la progression fulgurante de Beraldo. Il l’a titularisé devant Marquinhos pour ce choc. Le choix, risqué, s’est révélé payant face à une équipe niçoise physique et organisée.
Les statistiques soulignent la performance XXL de Beraldo. Quatre-vingt-dix-huit pour cent de passes réussies, sept récupérations, zéro dribble subi. Sofascore lui a attribué la note de 8,2, la plus haute du match avec Ramos.
Beraldo a grandi dans un quartier modeste de São Paulo. Il jouait pieds nus sur des terrains en terre avant d’intégrer l’académie pauliste. Son idole, Lucio, l’a inspiré pour devenir un roc défensif élégant.
En Ligue des Champions, il affrontera bientôt le Bayern. Haise prédit qu’il dominera les attaquants bavarois comme il a muselé Moffi. Les bookmakers le placent déjà parmi les favoris pour le Golden Boy.
Le PSG a prolongé Beraldo jusqu’en 2030 avec une clause libératoire d’un milliard. Les grands clubs anglais et espagnols suivent déjà le dossier. Mais le Brésilien veut s’imposer à Paris avant tout.
Nice, malgré la défaite, repart avec des certitudes. Haise a loué la solidité collective et le gardien Diouf. Il regrette seulement de ne pas avoir su exploiter les rares failles parisiennes en transition.
Beraldo, dans le tunnel, a échangé son maillot avec Boudaoui. Les deux jeunes se sont promis de se suivre. Cette marque de respect illustre la classe du prodige qui évite les déclarations tapageuses.
Les supporters parisiens ont scandé son nom à la fin. Des banderoles “Beraldo Future” ont fleuri dans le Kop. Le Parc des Princes, habitué aux stars offensives, célèbre désormais un défenseur.
Franck Haise conclut que le football européen tient son prochain patron de la défense. Dans dix ans, Beraldo pourrait captainer le Brésil et le PSG. Son ascension fulgurante rappelle celle de Varane en 2011.
Ce 1er novembre 2025 marque un tournant. Un entraîneur adverse consacre un rival comme futur roi. Beraldo, humble, promet de travailler encore plus pour honorer ces mots historiques et gravir les sommets.
